Excellent article :
Il est temps en effet de juger cette dirigeante politique et cette personne sur ce qu’elle écrit et fait, par exemple dans sa région ; mais précisément c’est ce que ses adversaires s’interdisent de faire, car ils préfèrent largement la "pipoliser" au négatif, pour ensuite lui reprocher d’être une simple image, qu’il contribuent, à leur corps défendant, à valoriser par leurs attaques plus ridicules à force de mépris haineux qu’efficaces, comme beaucoup en font la remarque sur ce fil.
Mais cette haine n’est comme toujours -et chacun obscurément le sait- que l’expression d’un amour impuissant et partant humiliant pour qui ne peut l’assumer : la beauté physique lorsqu’elle est révélatrice et mise au service d’une justesse intérieure (sincérité) et d’une détermination sans égale pour la justice révulse qui ne s’en sent pas digne ou qui, à travers elle, éprouve pour le moins une certaine répulsion humiliante de soi-même.
Or il est vain de rappeler que l’étude doit précéder la critique : ses adversaires qui la prennent pour folle risqueraient d’en perdre leur illusion haineuse, laquelle fait le fond de cette joie triste du faible que Nietzsche appelle le ressentiment...
Connaissez-vous des hommes et femmes extraordinaires qui ne soient pas considérés comme fous par les soumis consentants ou les désespérés de la vie ?