Laissez donc au vestiaire votre habituel ton de "donneur de leçons". Je vais où je veux.
J’ai pas mal voyagé, mais il n’est nul besoin d’avoir visité tous les pays pour avoir une opinion sur une crise qui est mondiale et nous concerne tous.
Une petite maxime pour la route : "Lorsque les riches ont faim, les pauvres meurent".