Quelle est la frontière entre la naïveté individuelle et la croyance collective ?
On peut admettre qu’il y a une certaine fascination de la part des citoyens du monde à, dans un premier temps, complètement intégrer et promouvoir un mensonge institutionnel puis part là à le fustiger et à l’emmener sans procès vers la potence.
Les réjouissances de la crise nous offrent un théâtre des plus pittoresque où des mythomanes négocieraient l’avenir du monde avec des hypocondriaques.
La misère humaine semble être un drame commun, une fois l’alarmisme obligatoire du compassionnel passé, réfléchissons sur les ressorts psychologiques de notre besoin de mensonge.
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