Notre impayable auteur n’a pas compris que l’impôt indirect était pratiquement indolore et qu’il constituait le seul moyen de prélever plus de la moitié de la richesse produite par les agents économiques.
Si l’Etat voulait prélever plus de 50% de la production de richesse sous forme d’impôts directs, il aurait à faire face à une fuite générale des contribuables, qui l’acculerait vite à la ruine.
Il n’a donc pas d’autre solution.
Le problème des Etats d’aujourd’hui est pourtant facile à comprendre : Il est impossible de justifier l’énormité des prélèvements qu’il effectue, comment justifier le prélèvement de plus de la moitié de la richesse nationale ?
Par quel service rendu ?
Donc il n’a pas d’autre choix que de prélever le maximum de ce qu’il lui faut pour vivre en matraquant un maximum sur les impôts indirects, en espérant que les consommateurs continueront de roupiller sur leurs deux oreilles.
Et, malgré tout celà, il est toujours en déficit !!!!!