merci pour cet article
le seul bouquin que j’ai lu de Braudigan, c’est « un privé à babylone », et j’ai pas oublié. c’était tellement déqualé et pourtant je me suis sentie aimé par l’auteur, son écriture m’enveloppait. Tel un extra terrestre dans son amérique, je suis certaine que pour lui l’écriture était un acte d’amour.
Sandro, la bibliographie que vous présentez, me donne envie de continuer l’aventure.