Nous abordons une époque de remise en cause, où, pour se défendre, l’Etat cherche à étouffer tout mouvement de contestation de « l’orde établi ».
Si certains parmi ces organismes sont effectivement dangereux pour le libre arbitre et doivent être combattus, la grande majorité ne sont que des petits groupes qui prônent le retour à la nature, mangent bio, vivent une quête spirtituelle à leur manière, et surtout, et c’est ce qui dérange, sans l’aide des religions institutionnalisées ...
En fait, il conviendrait de s’attarder sur les principes d’action et de choix de Milivudes ou de l’ADFI, dont les critères de choix et de décision sont bien plus sectaires que ceux qu’ils dénoncent.