Cet article m’a tout l’air de refléter la psychose ambiante sur la génétique, par rapport au social. Les règles qui régissent le social sont de nature humaines, tandis que les règles génétiques sont hors de notre portée ou alors si nous y touchons, nous produisons de petites catastrophes. Concernant les dérives eugénistes, nous les produisons nous-mêmes, c’est ce qui s’appelle le complexe d’oedipe, qui nous fait nous attirer vers un individu possédant ou émanant un caractère familial. Bref, tout cela pour dire qu’un individu peut très bien être unique en étant déterminé génétiquement. Je suppose que l’article porte un peu sur cela, le déterminisme génétique...