Bonjour Sandro,
Je sais, j’arrive comme les cavaliers d’Offenbach. Cet article, je n’en avais pas pris connaissance en son temps. Pourtant, je furette souvent au travers de l’Agora.
Je ne l’ai pas trouvé immédiatement d’ailleurs. J’ai transité par plusieurs articles dont celui de Morice. Les petits cailloux blancs des commentaires m’ont fait remonter jusqu’ici.
Et puis, il y a celui-ci, qui parle de Brel, mon maître à penser qui avait tout dit, tout pensé, tout compressé dans ses chansons.
Nous vivons aujourd’hui, une valse à trois temps perdue dans la vitesse du temps pour se terminer par la vache à mille francs.
Alors, je vais continuer à suivre le conseil qui fait partie de votre « A propos ».
Merci pour cet article