Point de convergence avec l’auteur :
- « Les propos déplacés de François Bayrou n’ont pas dû influencer plus d’un ou deux pourcents, ce qui est loin des 15% comme objectif désiré du MoDem pour se rendre incontournable. »
Ce qui a surtout nui à Bayrou, à mon, avis, c’est de se trouver placé en face de Cohn-Bendit et de s’être laissé piéger dans le rôle du batailleur pour la troisième ou quatrième place. Il aurait dû ne pas se laisser prendre à ce jeu et parler en tant que premier opposant et comme troisième homme de la présidentielle.