C’est parti, nous voilà fournis en arguments à la logique bien fallacieuse ! Vulgairement : « pourquoi vous occupez vous du sort des taureaux quand on a des clochards dans la rue ? »... à quoi ça rime ? aucun rapport !
Je ne me contenterai que d’une citation de Michel Dumont (ligue des droits de l’animal) : « On ne brûle plus les chats sur les parvis des cathédrales, les combats d’animaux ont été interdits en 1833, on ne cloue plus les chouettes et les rats ne sont plus crucifiés comme cibles au jeu de fléchettes. Quoi qu’en disent les milieux taurins, la corrida avec mise à mort est condamnée. Si le législateur français, par prudence électorale, n’a jamais voulu trancher cette question, il n’en reste pas moins que la conscience de l’Europe nous imposera un jour, de l’extérieur, par l’intermédiaire des règles communautaires, de faire cesser ces jeux sanglants. [...] Qu’elle s’exerce sur l’homme ou sur l’animal, la torture est la même, de même que son origine, le tout est de savoir quel type de société nous souhaitons. »
Je dis donc Bravo pour cette nouvelle ville anti corrida !