Lorsque l’on veut fabriquer un impôt nouveau, on fourmille d’imagination pour en expliquer le bien fondé, la justesse, la moralité, et surtout l’utilité manifeste avec un but précis ( « les radars sur la route serviront à financer les travaux d’amélioration d’infrastructure » : qui a vu disparaître un radar suite à travaux d’amélioration financés et effectués ? ) Ce faisant on flatte un petit groupe de pression que l’on s’empresse de mettre en avant comme l’image de l’opinion générale
sitot l’impot décidé et quelques mois passés, son assiette augmente de manière subreptice (« ajustements ») et son produit devient de plus en plus opaque pour finir transparent : budget de l’état c’est à dire le tonneau des danaïdes de l’argent gaspillé, distribué en fêtes, commémorations, réceptions no limits (cf sommet France Afrique) associations de grande valeur sociale des copains etc
Une seule chose est certaine, nous paierons jusqu’à la lie. Pour l’essence on va quand même réussir un exploit, aprés la TVA sur des taxes, on rajoute une nouvelle taxe : l’impôt est porté au cube. On a jamais fait mieux dans l’histoire du plumage.