Avant de prêter Sarkozy junior au Gabon, peut-être vaudrait-il mieux l’essayer avant en France. Les prêts se font souvent avec intérêt et cela a beaucoup ruiné l’Afrique. Nous ne manquons pas d’individus pour relever nos défis. Nous avons fait les mêmes écoles que vous et avons autant de capacités. Laissez-nous donc l’opportunité de la liberté... Quant au fils Bongo, il peut se reconvertir dans les affaires avec ses relations, ses amis et ses soutiens. Il est candidat à l’élection présidentiel, le Gabon l’a admis. Je dis simplement qu’il est nécessaire pour le Gabon et pour l’Afrique de changer de registre. Je ne vois pas ce que Mr Ali Bongo pourrait apporter au Gabon qu’il n’ait pas eu le temps ou l’occasion de conseiller à son défunt père. Arrêtons de prendre les africains pour des enfants qu’on peut berner avec des balivernes.
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