Dernier (?) point. Le dogme (car s’en est un) de la concurrence libre et non faussée appartient à l’école dominante neo-classique. Elle est basée sur des hypothèses irréalistes (optimum, équilibre général, etc...) et un usage excessif des mathématiques. Dans les faits ce dogme aboutit à un protectionnisme intérieur et aucun libéral digne de ce nom ne défendrait ce concept.