Celle à laquelle j’ai appartenu durant plusieurs années ne transcendait pas grand chose, sinon une laïcité poussée à l’extrême dont elle avait pratiquement fait sa religion. Ses trois points à elle sont : Affairisme, Politique, Copinage... C’est pourquoi j’en suis parti car elle me décevait beaucoup. Alors, j’ai trouvé une autre fraternité trenscendante : elle n’est composée que d’un seul membre. Je m’y sens parfaitement à l’aise car elle répond à mon « questionnement » et me permet d’aller à la rencontre de mon maître intérieur. Pas besoin de décors tarabiscotés ni de temple qui ne résonne pas. Lorsqu’on m’a proposé d’entrer dans les hauts grades (quelle rigolade !) j’ai refusé tout net. Mon temple à moi, c’est par exemple la belle voûte étoilée d’un ciel d’été, la campagne où j’habite, avec en musique d’accompagnement, le chant des oiseaux etc... Du reste, j’expose mes vues sur la question au travers d’un livre que je suis en train d’écrire et qui aura pour titre « De Maître Hiram à Christian Rosenkreutz » et dans lequel je mets en parallèle ces deux fraternités en y exposant à la fois leurs côtés positifs et négatifs.