Ce qui ne manque pas de sel, c’est que Bruxelles a instruit ce dossier parce qu’un agriculteur français, semble-t-il mécontent de ne pas avoir sa tranche de gâteau, avait mis le feu à cette poudre procédurière.
Sur un autre plan, les fonds européens suivent le plus souvent, d’étranges circuits. L’énormité des sommes en jeu laisse pantois.