Très bonne critique. Un livre qui prône un rapport très immature à l’art et à la connaissance mérite bien un tel article.
Et, miracle littéraire, les deux personnages principaux, la bourge surdouée de 12 ans et la vielle concierge, partagent les mêmes goûts, les mêmes valeurs, la même culture jusqu’à des références japonisantes identiques - comme s’il avait échappé à « la romancière » que c’est l’expérience individuelle de chacun qui détermine les choix, les goûts…
Ca c’est bien vrai ! Comme si les êtres intelligents ne pouvaient qu’en arriver à admirer Tolstoï et Ozu (sans doute les deux seuls artistes que l’auteur connaît bien)...Etrange que ni la concierge, ni la jeune fille, ni le japonais ne préfère Eisenstein et Balzac !
Ainsi parlait Roungalashinga.
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