Bonjour,
Votre article est très intéressant. Mais ne sommes nous pas,
à un instant ou l’autre de la vie, un résilient ? Où plutôt, l’état de résilient
est-il permanent ? Personnellement, il me plait de penser que chacun fait du
mieux qu’il peut, comme il le peut avec ce qu’il a. Beaucoup disent, et à juste
titre, que la vie n’est pas une partie de plaisir. J’aurai tendance à croire que
si pour la première partie de la définition. Je pense que la vie est un
jeu, une partie où il n’y a ni gagnant ni perdant mais juste une règle, jouer cette
partie du mieux que l’on peut jusqu’au bout ! Tous les grands humanistes nous
ont répété plusieurs fois : »Le bonheur c’est les autres ». Notre
problème c’est la mise en application de cette vérité dans une société qui prône
la réussite individuelle. Je pense que notre conscience sait ce qui est bon ou
mauvais, j’entends par là que l’on ne peut pas se mentir à soi-même, donc cela
devrait guider notre attitude envers autrui. Et même si l’on pense être en
phase avec l’autre, le pire n’est pas de percer à jour les mauvaises actions
que l’on sait comme telles, mais celles que l’on a crue bonnes à instant et qui
ne l’étaient pas. Pour finir je vous citerais Ernest Hemingway « Le monde
est un endroit merveilleux et il faut tout faire pour le sauver » Je suis
d’accord avec la deuxième citation.
Merci de votre indulgence pour
mes écarts grammaticaux.
Cordialement