Merci, Madame, pour vos paroles ; elles réconfortent ! Je viens de m’en prendre plein la tronche, pour avoir simplement ouvert une porte sur « un autre possible » ...
C’est assez grave, ... Non pour moi, mais pour notre dociété, qui est bien malade, malade de ses peurs, malade de ses fausses certitudes, malade de ne pas pouvoir assumer ses différences ...
Merci encore. Respectueusement,