Merci pour ce bel article qui devrait contribuer à rappeler au public qu’on reconnaît davantage un immense penseur à sa discrétion qu’à un engagement rageur qui ne peut que confiner au bruit et à l’idiotie (Cfr. Les gesticulations séniles de Badiou ou les errances graphomaniaques d’un Derrida et toute sa bande...).