Vous avez dit « tempête » ?
« Un an après le début de la crise, un paysage bancaire mondial bouleversé »
un article signé Anne Michel, qui débute ainsi :
« ... de la crise internationale ... émerge un secteur affaibli et amoindri, un paysage totalement remanié après de nombreuses faillites, encore loin d’être stabilisé, mais dans lequel il est déjà possible de désigner, de part et d’autre de l’Atlantique, les grands gagnants et les grands perdants. »
Et se termine par cette phrase :
« Dans ce contexte d’incertitudes, une chose est sûre : si le secteur bancaire venait à trop se concentrer, alors les plus gros établissements seraient en position de dicter les conditions du marché ».
Cela me semble la réponse à la question : à qui profite le crime, non ?