Un petit clin d’oeil assez amusant au nom du rédacteur PANDA quand on sait qu’il existe le logiciel PANDA ANTIVIRUS développé par la société PANDA SOFTWARE et qu’il est avéré que cette société appartient à un membre actif/donateur de la sciento (réf. consultable par exemple : France 3 / 3 Mai 2001 / Pièces à conviction). Pour les éventuelles recherches de ceux que ça intéressera, Mikel Urizarbarrenak, fondateur de Panda Software, adhère et contribue financièrement, tout comme Panda Software au groupement WISE (World Institute of Scientology Enterprises).
Mais tout ceci devient beaucoup plus marrant dès lors qu’on sait que :
- un logiciel antivirus - tout comme un défragmenteur de disque - a un accès privilégié au stockage et donc aux fichiers présents sur le disque dur d’un ordinateur de travail ou d’un serveur,
- le responsable de Panda Software France a reconnu être membre de la sciento,
- le Ministère de l’Intérieur a équipé ses services et antennes de l’antivirus Panda software en 2000,
- le Ministère de l’Intérieur Allemand a été lui moins ouvert et a demandé à Microsoft, éditeur du système d’exploitation de ses ordinateurs (là encore une erreur stratégique), la possibilité de pouvoir supprimer le défragmenteur de fichiers fourni en standard avec le système quand il a appris que ledit défragmenteur (de technologie Diskeeper) était développé par Executive Software International clairement affiliée, une fois encore, à la sciento.
Dans la course à l’information actuelle, même si on sait que ces logiciels ne peuvent remonter sans trace ni autorisation des pare-feux des informations à l’insu des élites techniques en charge de l’exploitation des serveurs de notre gouvernement, ces éléments peuvent nous laisser circonspects.