Ayant eu peur de subir des heures de propagande « politiquement correcte », je me suis abstenu jusqu’à la dernière séance. Je dois reconnaître que le sujet a été plutôt bien traité.
La chute de Berlin et la fin d’Hilter dans le bunker devraient être une source d’inspiration pour les auteurs de talent qui pourraient nous écrire une tragédie en trois actes. Tout y est, le départ déchirant des serviteurs qui ne veulent pas finir avec leur maître, le mariage cornélien d’Eva avec Adolf avant de se suicider, la fin d’un rêve qui se termine en catastrophe. Avec le drame intérieur que vit Magdalena Goebels avant de tuer ses six enfants on est en pleine tragédie grecque.