@ Vincent Benard,
le problème est encore plus complexe quil n’y paraît, et ne convient guère à la communication simpliste.
Résumer le déreglement climatique à son réchauffement est réducteur, même si le réchauffement est localement une réalité saisonnière aigüe.
Par ailleurs le catastrophisme quasi-apocalyptique de certains politiques n’a aucun rapport avec ce dérèglement : ces politiques décrédibilisent dangereusement l’Etat qu’ils représentent.
La cause géopolitique, défendue par l’auteur, est clairement plausible.
L’autre problème est la complexification de la réception du message politique dans des sociétés multi-culturelles où le civisme, toujours présent, a beaucoup muté.
La solution est une plus grande adéquation des élites et de la population.