La meilleure prévention consiste pour chacun à arrêter de considérer son corps comme un cadavre inerte que l’on confie à un tiers quand il ne fonctionne pas comme on le voudrait.
Le principe de vie ne fonctionne pas sous bulle. Notre corps, si on le laisse faire, est tout à fait capable de « guérir » (c’est à dire rétablir l’équilibre qui existait avant la maladie) pour peu que l’on n’ait pas bousillé son système immunitaire, que l’on ne soit pas sous alimenté ou carencé.
Nous vivons en symbiose avec des bactéries, des virus. On sait que certains « microbes » sont nécessaires au bon fonctionnement de notre corps. On sait que le rire, le bien-être psychique, l’amour, déclenchent des sécrétions d’hormones positives pour notre corps. On sait que le stress abime notre corps (fatigue, nervosité...). Et malgré tout ça, certains médecins continuent à favoriser la lutte à mort (avec dommages collatéraux) contre un ennemi qui n’existe pas plutôt que d’aider le patient (= passif-non concerné par son corps) à reprendre son corps en main et devenir actif dans le rétablissement de l’équilibre...
Les maladies sont des signaux du corps. Elles sont le témoin d’un déséquilibre du terrain.
Dans nos sociétés actuelles, nous sommes tous carencés. Oh, pas de grosses carences, non, juste de nombreuses petites ! Nous sommes exposés dès notre plus jeune âge à des entreprises de stérilisation de notre corps (vaccination multiples, chasse systématique aux « microbes »), qui sont autant d’entreprises de dérèglement du système immunitaire. Dans le même temps, nous sommes exposés à des pollutions omniprésentes. Nous sommes tous intoxiqués (comme pour les carences, pas forcément à haute dose, juste de multiples petites intoxications quotidiennes !).
Et on continue à faire semblant de ne pas comprendre la hausse de maladies telles que le cancer (le corps développe des cellules non-saines au détriment des cellules saines), les allergies et les maladies auto-immunes...
Petit parallèle horticole qui parlera aux jardiniers. Une plante a toujours un terrain de prédilection (acide, calcaire...) et une expositon idéale, un voisinage de prédilection, des hôtes nécessaires à sa reproduction, une résistance ou non au gel, aux intempéries...
Privez la de son « environnement » naturel et vous serez certains d’obtenir une plante malade, même si vous l’aspergez de traitements phytosanitaires et que vous multipliez les apports d’engrais... La plante pourra survivre très longtemps, c’est sûr, mais elle sera incapable de se défendre contre les parasites et les maladies... qu’il faudra traiter aussi !
On fait subir la même chose aux êtres humains....