On ne peut nier que l’ADN soit de la matière codante, donc un « programme », considérablement plus complexe que ce que l’on sait faire avec nos bécanes électroniques.
De même pour le cerveau.
De même pour les capteurs d’information, dont la science s’inspire parfois (ex :
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/technologie-1/d/la-squille-un-crustace-marin-aidera-t-elle-a-mieux-lire-les-dvd_21093/).
Après, reste à savoir si le hasard suffit à expliquer la réalité de cette complexité, ou pas.
Ceux qui ne souhaitent pas qu’on discute de cette question me font penser aux adeptes du culte du veau d’or (ici, le dieu « Hasard »), ayant pour doctrine de la supériorité des « forts » sur les « faibles ». Avec guillemets vu la subjectivité des concepts de fort et de faible.
Donc, l’émergence de la complexité n’est scientifiquement absolument pas comprise. Nier le problème est une attitude idéologique (et inconsciente) adaptée au paradigme néo-libéral du chacun pour soi. Lles « meilleurs », c-à-d les mieux nés, ayant alors légitimité à tout accaparer.