Croyez-vous que Voris pourrait aussi décrocher 80 000 euros pour recruter des musiciens, un chanteur, et pour financer une maquette ? Ben non !
Voris doit se contenter de son petit synthé aux capacités limitées mais dont il essaie de tirer le maximum : « Little jazz ».
Et encore moi je m’en fous, j’ai un métier. Je n’en espère pas plus qu’un amusement. Mais combien de semi professionnels ou professionnels rejetés au profit de l’aristocratie des fils de..." ?