Bonjour Monica
C’est tellement bien décrit qu’on s’y croirait. A tel point qu’on s’imagine un peu trop facilement à la place de la personne opérée... Et les détails sur le déroulement de l’opération n’en deviennent que plus difficiles à encaisser. J’ai survolé les passages « un coup de scalpel par là, un autre par ici », un peu trop explicite pour moi...
Je te souhaite bon courage dans tes prochaines interventions « à cerveau ouvert ». En espérant que la résilience soit au rendez-vous pour chaque personne opérée.