Pour préciser mon post ci-dessus au sujet des attributions du GIEC, on lit ceci dans son statut :
Le GIEC a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique,
claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique
qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques
liés au changement climatique d’origine humaine,...
Donc dès le départ, le GIEC stipule que la responsabilité de l’homme dans le changement climatique existe et qu’il y a des risques ! C’est alors se payer de mots que de prétendre qu’il fait une évaluation « sans parti pris ». D’ailleurs, cette illusion de « sans parti-pris » s’évapore totalement quand le premier président du GIEC, sir John Houghton a prononcé sans ambage sa fameuse phrase : « Si on n’annonce pas de désastre, personne n’écoutera » (« Unless we announce disasters no one will listen »). D’un point de vue de la communication politique, c’est sans doute justifiable, mais sur le plan scientifique, c’est irrecevable.
Pourtant, on continue de présenter le GIEC comme porteur de la vérité scientifique, ce qui est une vue bien simpliste et définitivement fausse de la réalité.