La question du risque est pourtant simple :
1) toute infection en particulier virale (mais pas seulement) peut générer ce syndrome probablament lié à une réaction catastrophique ou inadaptée du système immunitaire qui se trompe de cible.
2) Or la risque est bien plus grand encore lors d’une grippe a ou saisonnière ou autre infection virale franches
Donc
3) le vaccin ne permet pas seulement de protéger de la grippe A mais aussi de réduire le risque de ce syndrome, sans le supprimer.
Tout considération anti-vaccin visant à faire de ce syndrome une conséquence du vaccin est un enfumage irrationnel lié à une crise de confiance politique, mais que ne dirait-on pas si l’état n’avait pas pris la responsabilité de mettre en œuvre une démarche vaccinale généralisée (mais pas obligatoire) et donc s’était dérobé face à sa mission de santé publique ?