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Le chien qui danse 4 décembre 2009 11:26

"La nation étant constituée de QUELQUES régions garde elle aussi son emprise, son étreinte avec le réel : elle ne se nie pas comme on nie une pure utopie.« 

 »QUELQUES régions« , combien alors ?
L’alsace, la loraine, pour ne citer que l’histoire récente font partie de la nation la plus forte à un moment donné, un coup par ci un coup par là.
La prétendue stabilité de certaines nations européennes n’est du qu’au fait qu’elles aient atteint les limites de leur prétention à être un absolu, d’ou le dépacement vers une européanisation qui piétine car elle est pensée que soit comme une surnationalisation ou un terrain de jeu pour toute sorte d’ambitieux.
Nous sommes condamnés à l’évolution et au développement, on ne peut se recroqueviller sur une réalité »artificelle« constituée de réalités »charnelles" comme vous dites. Et au nom de quoi d’ailleurs ? C’est de la théorie pure, sans fondements.
La réalité est que nous sommes des personnes singulières dans un monde qui nous est commun. Les différences physiologiques qui ont servis la théories des races s’estomperont avec les siécles à venir de mélanges, seules comptera la singularité de la personne qui ne pourra se révèler que dans la mutualisation de ce bien commun qu’est notre univers. Vous voudriez (pas que vous !!) freiner le mouvement mondial alors qu’il faudrait l’accompagner intelligemment.
Tant que cette réalité, que chaque vie compte ne sera pas totalement intégrée, les mouvements ne s’arrêteront pas, après non plus certainement mais ça c’est une autre histoire.
Votre nation n’est qu’une masse informe malléée par des personalités fortes qui se sont imposées et bien souvent grâce à leur égo surdimensionné et sans vision réelle de construction d’avenir, plutôt des opportunistes appuyés par des affairistes ou vice et versa. Chair à canon, chair à usine, chair à finance maintenant voilà ce à quoi sert et à servi l’idéologie nationaliste. Idéologie qui à été menée à son paroxysme au cours du siècle dernier de trente trois à quarante cinq (en gros) et qui vit son déclin depuis et doit finir par mourrir. La preuve en est au travers de ce pseudo débat que le deuil n’est même pas consommé.


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