L’égorgement traditionnel des animaux ne provoque pas de réelle douleur physique chez l’animal, mais il engendre un terrible stress qui dure jusqu’à la perte de conscience et induit par conséquent une douleur psychique indiscutable.
J’ai assisté, étant gamin en Auvergne, à des égorgements d’animaux, et notamment de porcs et de brebis, et je peux témoigner de cette souffrance.
Elle est d’ailleurs à l’origine d’une phobie des couteaux et rasoirs qui ne m’a plus quitté depuis ces expériences de souffrance animale, devenues insoutenables durant mon adolescence.