Un article qu’aurait pu écrire Frédéric Lefevre !
On dresse les gens les uns contre les autres et on oublie de parler du « reste », c’est à dire du libéralisme économique et financier qui presse chaque jour un peu plus les salariés et qui engraisse les dirigeants et les actionnaires.
Tant que les salariés se taperont dessus, le capitalisme pourra dormir sur ses deux oreilles.