Oui, Dalamix, et c’est bien le dilemme que constate l’auteur. On peut dire qu’au Liban, c’est la non démocratie (puisque ethnique) dans la démocratie (toutes les ethnies représentés). Malgré cet handicap, le Liban reste le plus démocratique du monde arabe. La démocratie la plus risible est précisément à l’israélienne où tous les coups sont permis : Communautarisme, racisme, crime et mauvaise foi sont les meilleurs critères de succès aux élections.