Madame, les valeurs occidentales censées reposé selon vous sur un « message de douceur et de tolérance (*) » ont dérivé ces dernières décennies vers
la valorisation du court terme.
Cette religion du court-terme est maintenant confronté à ses limites : la perte progressive de notre « supprématie ». C’est de la pure logique de civilisation.
A partir de là, vous pouvez croire que faire porter le chapeau de ce mal-être à des religions voisines et évidemment d’une certaines façons concurrentes résoudra ce problème de fond.
Quand à moi, je pense que faire porter à une religion « concurrente » le poids de nos erreurs nous empêche d’en assumer la responsabilité et de faire un vrai travail constructif ...