Le mensonge et le mépris de la parole donnée publiquement à des journalistes du service public , la capture d’un parti socialiste, même pas consulté, sont-ils une belle leçon de courage et de démocratie ?
Tout ce que VP peut gagner à cette misérable manoeuvre, c’est sa mise hors jeu de la vie politique : qui déserte la confrontation et le débat sur les médias, ne serait-ce que pour en dénoncer les conditions et cela, en trahissant la confiance de journalistes du service public (plutôt meilleurs que d’autres) , se condamne au silence. Une parole mensongère, une promesse trahie sciemment, reviennent à se tirer une balle dans le pied ; même son parti, même son ami Rebsamen, après quelques hésitations, le désavouent.
Emmanuel (Kant), revient l’inspirer, Vincent (Peillon) a perdu sa boussole (comment s’orienter en politique) !