Un nouveau système de crédit international :
L’épreuve qui nous attend
11 janvier 2010
par Lyndon H. LaRouche, Jr.
le 9 janvier 2010
Ce texte fait office de recommandation pour ce que doivent être les perspectives (a)
d’une véritable initiative des quatre puissances, nécessaire de toute
urgence, dont le but est d’amorcer la transformation des systèmes
économiques du monde. Cette alliance doit aller (b)
contre les effets destructeurs qu’engendre la soumission à un système
monétariste mondial implicitement impérialiste et qui n’est qu’une
sorte de « nouvelle Tour de Babel » ; et nous diriger (c ) vers un système de crédit à taux de change fixe, dont la substance soit (d) la coopération et le bénéfice mutuel des peuples organisés en une communauté d’Etats-nations respectivement souverains.
Inévitablement, cette coopération suppose une mesure pratique indispensable : (e)
l’application immédiate du principe établi par la loi Glass Steagall,
adoptée aux Etats-Unis sous l’impulsion du Président Franklin D.
Roosevelt.
La réforme dans son ensemble devra mener à (f) l’éradication des systèmes monétaires, qui sont des structures implicitement impérialistes, et à leur remplacement par (g) des systèmes de crédits nationaux constituant un système à long terme de taux de change fixes entre monnaies souveraines.
Puisque la plupart des actifs monétaires et financiers dans le monde
constituent une accumulation implicitement hyperinflationniste de
titres sans valeur, passer immédiatement à un système de crédit à taux
fixes est le seul espoir d’éviter un plongeon général dans un nouvel
âge des ténèbres.
Ce qui suit au sujet de l’état actuel de l’Empire britannique est
certes un peu rude, mais doit être considéré comme une représentation
fidèle de la réalité, sans crainte d’exagération vis-à-vis des
politiques de la Maison Royale britannique. Bien entendu, j’ai fait
attention à ne pas négliger les droits naturels et nationaux du peuple
du Royaume Uni, avec qui, après tout, j’ai des ancêtres communs.