La mâle assurance de Boris.. Et « de toute urgence », s’il vous plaît !
Les châtiments corporels, rien de moins - la gifle, la trique, la latte, la chicotte, la ceinture, etc. - pour les « merdeux » ! La voilà, la bonne pédagogie !!
Tiens, mais qui sont au juste, ces « merdeux » ? Dans l’école de la réussite, de l’« excellence », dans l’école des « meilleurs », ce sont les autres : les gosses d’abord en décrochage, laissés à eux-mêmes dans le fond de la classe, les déviants, les inattentifs, les contestataires ?
Peut-être, sévère Boris, pourriez-vous préciser, un tant soit peu ? Puisque tout ce qui est excessif est insignifiant, n’est-ce pas.
Mes vifs encouragements au jeune auteur (ou à l’auteure, semble-t-il), que j’encourage à poursuivre sur AgoraVox. Une veine pour vous : « Libres enfants de Summerhill » , de A.S. Neill, bien sûr (déjà évoqué ci-haut) ; mais aussi « Pour une société sans école » , de Ivan Illich. Bonne continuation !!