Si on sort du schéma débile propagé par les guignols gauchistes de l’Amérique pays du libéralisme bla-bla, il faut bien reconnaitre que tel qu’il était le système de santé américain a de nombreux défauts, dont les plus criants sont liés à une réglementation tatillonne.
Mais l’important n’est pas là. Les imbéciles en mal de théorisation ont toujours besoin d’exemples censés illustrer bonnes et mauvaises pratiques. Et la nécessité de leur blême démonstration se moquent bien des réalités, qu’ils ont pour coutume de conchier avec constance.
Comme de prétendre que le système américain est privé et que ce sont les pauvres qui en sont exclus.
Leurs arguments sont comme ces contrats d’assurance : l’important est écrit en tout petit.