Puisqu’il est question dans cet article des images de Turquie, je rappelle que nous avons pu voir nettement des poulets et autres oiseaux se faire enterrer vivants (bougeant encore dans des sacs) ou brûler vifs. Ces pratiques innommables ont aussi lieu dans d’autres pays, la Roumanie notamment. Il est choquant que les journalistes de télévision commentant ces images ne prononcent que rarement un mot de compassion face à ces procédés d’abattages scandaleux (qui vont à l’encontre de toutes les recommandations sur l’abattage) ; certes, la cruauté envers les animaux n’est pas l’apanage de ces pays (l’élevage en batterie est généralisé et source de grandes détresse pour les animaux, les poulets de chair en particulier) ; il est cependant étrange que ces procédés odieux soient banalisés !
En tous les cas, le massacre d’animaux juste par principe de précaution (qu’il ait lieu en Turquie ou en France) montre bien qu’ils sont considérés comme du matériel et rien d’autre.