Bravo pour cet article ô combien intéressant, si bien écrit et tellement éclairant sur les dessous d’une pratique dont on s’épuise à s’interroger sur l’ignominieux sortilège par lequel elle parvient à perdurer, en dépit de la plus simpliste humanité, du bon sens le plus trivial, de la loi, et du choix démocratique. Souvent je m’interroge sur l’opportunité d’y rechercher une cause génétique ; y aurait-il plusieurs allèle des gênes de l’empathie, faisant ainsi d’une partie d’entre nous des boureaux, non pas dans l’âme, mais même dans la chair ?
C ’est vrai, comment se peut-il qu’un comportement si pathologique puisse être le fruit de phénomènes relevant seulement de l’acquis, l’endoctrinement pendant l’enfance ou autre ?
Mais à la suite de toutes ces révélations édifiantes, et si peu relayées il est vrai, on comprend plus facilement ce maintien dans le temps d’un travers déviant si déshonorant, ou la production de films de propagande qui n’ont rien d’historique mais décrivent bien une réalité présente sous un maquillage à l’eau de rose. Et oui, comment se pouvait-il que la presse soit si partisane elle aussi ? Tout tient dans un seul mot à consonnance italienne.
Un grand merci à Jean-Paul Richier de nous informer si précisément.