conclusion : on ne remplace pas de la graine de dictateur populiste par sa femme. Evita Peron bis, voilà son statut actuel.
« Suivant largement les conseils de son mari, celle-ci n’a pas changé la politique menée, au plus grand bénéfice de quelques amis du pouvoir et au détriment de tout le reste du pays. En effet, tant les Kirchner que leurs amis ont gagné des fortunes et les attaques de la presse libre sont récurrentes. »
le même népotisme qu’un Peron ou plus récemment d’un Menem... le modèle, finalement, de Sarkozy..