Bien. Je vois que la prise de conscience progresse, mais qu’il y a encore un peu de chemin à faire.
Il est vrai que nos amis sont en train de revenir du diable vauvert, et qu’il faut leur laisser le temps de la réflexion.
Alors reprenons :
1) Il n’y a aucun problème de violence spécifique à l’école.
2) En revanche, il y a en France un problème général, qui rejaillit sur tous les aspects de notre vie sociale et qui sapent peu à peu toutes les institutions de notre société, y compris ce mammouth appelé « Education Nationale », qui n’ont pas été conçues, ni prévues, pour faire face à ce phénomène invasif.
Et ce problème général est...est....est... ?
Allez, encore un petit effort, vous l’avez sur le bout de la langue.
En attendant, comme l’Education Nationale n’est plus en mesure d’assurer la sécurité des enfants dont elle exige pourtant qu’ils aillent à l’école, elle serait bien inspirée de rendre au parents la liberté de choisir les établissements dans lesquels ils souhaitent envoyer leurs progéniture et de prévoir des compensations financières pour ceux qui choisiront de les placer dans l’Enseignement Privé qui n’est pas gratuit, lui.
Et ceci avant que les parents d’un élève assassiné en salle de classe par un de ses petits congénères ne portent plainte contre l’Education Nationale pour mise en danger de la vie d’autrui !