Nationalisons toutes les banques européennes pour leur faire payer leurs méfaits et ayons le courage de nous attaquer à la Goldman-Sachs, plus puissante outre-Atlantique qu’un Président, fut-il noir ou café au lait. Entre-temps, l’oncle Sam imprime des billets à tour de bras. Sa dette envers les chinetoques est telle que ces derniers perdraient tout à l’asticoter trop fort, que ce soit avec des fusées, des programmes copiés ou des produits à bas prix. Tant que le dollar restera la monnaie du monde, l’Etat américain évitera la faillite.
L’Europe, en revanche... Je nous crois mal barrés. Le Welfare state, c’est fini !