Déjà on dit : « Il n’y a que la vérité qui blesse ! »
Ensuite personne ne parle de guerre des langues (à part vous, bien entendu) et si effectivement l’auteur décrit des comportements extrême c’est, je crois, pour montrer l’importance que cela a pour les Coréens et jusqu’où ils sont prêts à aller. C’est de l’ordre du culturel et n’a pas vraiment grand chose à voir avec la difficulté de la langue.
Pour ce qui est de la course à l’anglais, les Etats ne se font pas concurrence pour avoir le plus d’anglophones possibles, ils ont d’autres priorités et considèrent juste que c’est un avantage pour la communication dans le village planétaire qu’est devenu le monde. Il facilite le développement économique, la croissance et la bonne santé des Etats.
Mais lorsque l’on voit la mise en oeuvre de l’apprentissage de l’anglais et des autres langues, on ne peut pas vraiment parler de course, c’est plutôt de la marche à pied.