A noter cette alcoolisation « festive » et rituelle est chère et rapporte gros aux taverniers et à l’Etat.
Sous prétexte de meilleure qualité, de meilleure tradition, de meilleur terroir, tout est bon pour crever le budget des jeunes. C’est une prohibition par le fric.
Exigeons la carafe d’eau, du pain, du sel, des épices ou ingrédients
http://www.paris-bistro.com/conso/d...
Pour les services de la concurrence, l’usage de la carafe d’eau et du pain gratuits demeure, sauf si le restaurateur en a informé explicitement la clientèle, notamment par l’affichage des menus à l’intérieur comme à l’extérieur de son établissement.