Moi, la dopamine, je m’en occupe seul sur mon vélo. Et pour écrire, je suis continuellement seul aussi.
Mais, mais, mais thème et créativité ne viennent que de confrontations avec le monde des autres. Artiste, je n’en sais rien. J’fais ce que je veux, tout est question d’équilibre.
Amen et un bonbon au chocolat, dirait celui qui a un ami américain. Pardon, africain !