Les affirmations sur la génétique sont dépassées.
Similitude signifie-t-elle relation ? Parce que l’homme et la grenouille ont cinq doigts, sont-ils reliés génétiquement ? On le suppose pour le prouver ! On peut s’attendre à ce que les recettes de la glace au chocolat et de la glace à la pistache se ressemblent davantage qu’elles ne ressemblent à la recette de la soupe aux oignons ! Pourquoi y a-t-il ressemblance ? Parce qu’il y a un seul Créateur ; parce que les êtres vivants mangent plus ou moins les mêmes choses, se déplacent plus ou moins de la même façon, vivent dans le même environnement. Il y a à la fois des ressemblances et des disparités dans le métabolisme des diverses espèces. On teste des médicaments potentiels sur le rat parce que son métabolisme est apparenté à celui de l’homme. Les évolutionnistes prétendent sans preuves que le rat et l’homme sont apparentés (ils sont sur l’arbre généalogique évolutionniste des animaux). C’est une extrapolation sans justification. La vraie science demande des preuves.
Nous partageons 50% de nos gènes avec la banane (selon l’évolutionniste Steven Jones). La banane est-elle pour cela à moitié humaine, ou l’homme à moitié banane ? 98% de l’ADN de l’homme sont présents chez le chimpanzé ? C’est ce qu’on entend dire. Mais un article de D. DeWitt de 2003 indique qu’on est descendu à 95%. (Greater than 98% Chimp/human DNA similarity ? Not any more. A common evolutionary argument gets reevaluated—by evolutionists themselves. First published : TJ 17(1):8–10 April 2003 by David DeWitt http://www.answersingenesis.org/tj/v17/i1/DNA.asp)
Mais 2% de différence représentent déjà 60 millions de paires de bases ! Beaucoup de gènes ne sont pas les mêmes, notamment les gènes de contrôle. Il faut se méfier des arguments évolutionnistes fallacieux. « Les statistiques sous-jacentes sont trompeuses. Même une différence de 1% dans la séquence d’ADN implique une différence substantielle dans la séquence des protéines. Nous savons aujourd’hui que l’homme et le chimpanzé ont des séquences d’aminoacides différentes dans au moins 55% de leurs protéines, nombre qui s’élève à 95% pour l’homme et la souris. » (DVD « Clash over Origins ». Creation Ministries International. http://creation.com/clash-over-origins.) De plus, DeWitt montre que le calcul des différences et des similarités dépend du point de vue adopté. Certaines différences ne sont pas comptées comme telles par les évolutionnistes. Par exemple, certains gènes de certains chromosomes ne sont pas dans le même ordre chez l’homme et le chimpanzé. Les évolutionnistes ne les comptent cependant pas comme différents car ils considèrent qu’ils ont été « remodelés ». Mais ce pourraient être aussi bien des différences intrinsèques dues à des créations séparées. Des similarités ne prouvent pas une descendance commune. Retrouvons le bon sens et la vraie science.
Pour les chats (macroscopiquement), j’approuve !
Cordialement.