Votre excellent article, très informatif, soulève deux problèmes :
Le premier problème porte sur le montant même des dépenses des élus, aujourd’hui complètement dispropotionnées par rapport aux besoins. Il s’agit là de dépenses légales, approuvées et votées, qui peuvent être tolérées en période faste, mais sont totalement décalées en période de crise.
Le deuxième problème porte tout simplement sur l’abus de bien public. Certaines dépenses ont un caractère privé et ne devraient en aucun cas être réglées par le contribuable, quel que soit le montant. Là, on est dans l’illégalité, que la période soit faste ou non.
Je dis ça parce que j’ai l’impression que nos élus confondent les deux cas de figure. Ils se contentent de promettre de baisser leur dépenses. Or, s’il y a eu un abus illégal, ce n’est pas assez. Ils devraient être poursuivis en justice il me semble. Blanc par exemple.