Au temps des rois, de la noblesse et du clergé, il n’ a jamais eu aucune considération pour le peuple.
On le jugeait stupide, vil, méprisable et juste bon à trimer pour « l’élite ».
Au xxi° siècle, le jugement reste le même et on traite de façon péjorative ceux qui viendraient à s’y intéresser de « populistes », souvent en ajoutant qu’ils flattent les vils et bas instincts du peuple pour s’en servir.
La république normalement est la chose du peuple, mais elles est dévoyée par des gens malhonnêtes et sans scrupules qui la détournent à leur unique profit.
Comme le « progrès » avance en marche arrière, nous allons bientôt nous retrouver en...1789 !