Le pire c’est qu’après cette crise financière, tout recommencera comme avant, on privatisera le peu de joyaux qui restent en pointant à la plèbe (via les mass media) les avantages « disproportionnés » des fonctionnaires, et elle l’acceptera au nom de l’égalité des traitements et de la bonne gestion.
Le mouton est facile à tondre, il suffit d’attiser ses bas instincts, jalousie, égoïsme, appât du gain et il tend son dos de lui même.